Description
Quand elle était un peu nostalgique, elle écoutait la chanson de Francis Cabrel : c’était l’hiver…
Devant chez lui, les arbres au-delà de la route, ceux qui brodaient le fleuve s’agitaient d’un côté et de l’autre telle une valse à trois temps, puis s’assagissaient, oubliant leur frénésie, pour danser un slow langoureux en osmose avec cette végétation si dense et apaisante.
Les rencontres humaines ne se font pas par hasard. Là, les générations se découvrent, partagent, s’enseignent, se complètent et s’aiment.
Avis
Il n’y a pas encore d’avis.